- Efficace: Lors d'un essai clinique de 4 mois, il a été démontré que la lumière LED bleue atténuait en moyenne de 50% les symptômes du psoriasis vulgaris1.
- Confortable et sans danger: un dispositif de luminothérapie à LED bleues facile à utiliser, sans les effets indésirables des médicaments
Bruxelles (Belgique) – Royal Philips (NYSE : PHG, AEX :PHIA), le numéro un mondial de l'éclairage, vient d'annoncer le lancement de Philips BlueControl, un dispositif médical portable2 testé cliniquement1,5, qui met en œuvre une lumière LED bleue pour soulager les cas modérés de psoriasis vulgaris. Philips BlueControl sera présenté aux professionnels des soins de santé du monde entier au congrès de l'Académie européenne de dermatologie et de vénérologie (EADV) du 8 au 12 octobre à Amsterdam. Prescrit par les médecins, il sera disponible dès octobre 2014 auprès de distributeurs aux Pays-Bas, en Allemagne et au Royaume-Uni.
Le psoriasis touche environ 125 millions de personnes à travers le monde, dont 80% souffrent de la forme la plus courante, le psoriasis vulgaris3. Cette affection est causée par la prolifération anarchique des cellules de la peau, accompagnée d'une inflammation douloureuse. Les effets physiques et psychologiques de la maladie de la peau peuvent être invalidants. Les patients présentent des plaques rouges squameuses et écailleuses sur les parties visibles du corps4. Le psoriasis vulgaris est une maladie de peau chronique et incurable ; les plaques sont récurrentes. Même si les symptômes de la maladie s'atténuent ou disparaissent en cours de traitement, ils peuvent réapparaître sur une autre zone de la peau.
Philips a mené deux essais cliniques en partenariat avec l'hôpital universitaire d'Aix-la-Chapelle en vue d'étudier l'efficacité et l'innocuité de Philips BlueControl dans l'atténuation des symptômes du psoriasis vulgaris. Dans le cadre du second essai qui a duré 4 mois (achevé en juin 2014), les patients ont été traités pendant 12 semaines. Les résultats indiquent une réduction de 50% en moyenne des symptômes selon l'indice PASCI (indice d'étendue et de gravité du psoriasis local), qui mesure la gravité des plaques de psoriasis (épaisseur, rougeur et desquamation). Aucun effet indésirable du traitement à la lumière LED bleue n'a été observé1.
Philips BlueControl a été mis au point pour s'intégrer facilement dans la routine quotidienne d'un patient et limiter la fréquence des visites chez le médecin. Porté simplement en ajustant une sangle sur les zones symptomatiques (bras, jambes, les coudes et genoux), l'appareil de luminothérapie à la lumière bleue met en œuvre 40 LED bleues de haute intensité dont les paramètres sont adaptés. Conçu en ayant le patient à l'esprit, le dispositif fonctionne sur piles et peut donc s'utiliser partout et à tout moment.
"L'étude démontre que ce traitement aux LED bleues ralentit la division cellulaire rapide6 et peut enrayer l'inflammation7. Grâce à cette étude, nous avons pu mettre au point, pour la première fois, un dispositif médical inégalé qui change vraiment le quotidien des patients atteints de psoriasis vulgaris", a déclaré Matthias Born, Head of Clinical Affairs à la division Light and Health de Philips.
Les LED thérapeutiques doivent posséder des fonctionnalités spéciales, supérieures à celles des LED conventionnelles, à savoir une haute intensité et des réglages personnalisés tels que la lumière LED pulsée. Philips BlueControl est le fruit de recherches rigoureuses avec des partenaires cliniques et universitaires. Il découle d'une procédure d'optimisation complexe visant à intégrer des fonctionnalités médicales dans un concept compact et convivial.
1 Données sur fichier chez Philips B.V. (cf. ClinicalTrials.gov identifiant : NCT02004847)
2 Certificat européen CE Classe IIa
3 "Facts About Psoriasis" Psoriasis.org. National Psoriasis Foundation. Consultation le 5 octobre 2012. http://www.psoriasis.org/document.doc?id=1492
4 Schmid-Ott G et coll. Hautarzt. 2005; 56 : 466 – 72.
5 Weinstabl, A. et coll. Dermatology,2011; 223(3) : 251 – 9.
6 Liebmann J, Born M, Kolb-Bachofen MV. JID. 2010; 130 : 259 – 269.
7 Fischer M et coll. Experimental Dermatology. 2013; 22:554 – 563.
